De grands groupes industriels investissent massivement dans la recherche et le développement afin d’étudier les possibilités liées aux nanotechnologies appliquées au domaine de l’énergie solaire.
La majorité des modules photovoltaïques actuellement commercialisés sont composés de cellules en silicium d’une épaisseur d’environ une centaine de microns. Les ingénieurs visent à réduire cette épaisseur à environ un micron, tout en conservant des rendements similaires pour la production d’énergie.
Intérêt et applications des cellules à couche fine
Les équipements solaires photovoltaïques utilisant le fruit de cette recherche deviennent plus légers, plus flexibles et moins fragiles du fait d’un matériaux plus souple, sans compter que les installations de projets importants sont largement facilitées.
On imagine aisément les applications possibles pour de mini-capteurs solaires. Ainsi nos appareils électriques du quotidien – notre téléphone portable par exemple – rechargés par de mini champs photovoltaïques cousus sur nos tee-shirts ou autres sacs à mains.
Technologies photovoltaïques de demain
Les technologies à couche mince existent déjà, par exemple certains fabricants produisent des champs photovoltaïques à base de cellules CIS, à base de Cuivre Indium Sélénium, qui transforment en électricité un spectre lumineux plus large que les cellules à base de silicium et qui ont des performances plus élevées à faible luminosité.
Mais à n’en pas douter dans l’avenir de nouvelles technologies photovoltaïques encore aujourd’hui en phase de recherche viendront compléter la gamme des équipements solaires, chacune d’entre elles apportant des avantages selon les applications souhaitées.